Arbitrage

• Le juge – arbitre qui peut à la fois être en fonction d’arbitrage sur le ring/tatami et en situation de jugement autour du ring/tatami.
• Le superviseur de surface qui coordonne les juges – arbitres en situation et vérifie la conformité des décisions au regard des règlements et des procédures.

Au-delà de ces acteurs, il existe également des opérateurs et techniciens scoring qui garantissent le bon fonctionnement du Scoring machine afin d’assurer un meilleur rendu des décisions via l’outil informatique.

Les différents niveaux de qualification sont :

• Jeune juge arbitre (BJJA).
• Juge arbitre régional (BJAR).
• Juge arbitre national (BJAN).
• Superviseur.
• Juge – arbitre international IFMA et/ou WMC pour le Muaythai ; WAKO/WAKO pro pour le Kickboxing.

La durée des formations initiales est de deux jours en Muaythai et trois jours en Kickboxing.

Lorsqu’une personne est admise dans le corps des officiels de la FFKMDA elle s’engage en ayant pris connaissance et paraphé la Charte des officiels qui est un code de déontologie des juges – arbitres et des superviseurs.

Celle-ci est une prescription générale de l’attitude et de l’état d’esprit attendu durant et en dehors des compétitions sportives. Elle garantit la probité des officiels et la non-ingérence des organisateurs / clubs amis dans la gestion des décisions prises lors des activités compétitives.

La pratique en classe « pro » reste l’antichambre de nombreux événements médiatisés attirant les caméras et réseaux sociaux. Raison supplémentaire d’avoir une pratique de l’arbitrage rigoureuse à la fois pour donner davantage confiance aux sportifs et signifier à qui veut l’entendre que le sport et surtout le verdict des juges doit être maintenu dans une sphère garantissant l’équité de traitement.

La FFKMDA propose plusieurs formations pour devenir juge / arbitre.